Les relations intimes sont bien heureusement possibles mais la présence de l’assistance et du câble percutané sortant au niveau de l’abdomen vont amener à certains changements et adaptation des pratiques.
Il n’y a en soit aucune contre-indication ou risque spécifique liées au LVAD. Le traitement de fond (bétabloquants notamment) ou le flux continu de l’assistance peuvent être source de dysérection chez l’homme qu’il faudra évoquer avec l’équipe médicale afin d’adapter ou modifier les tours/min du LVAD ou modifier le traitement médicamenteux.
Un soutien psychologique ou un suivi par un sexothérapeute peut parfois aider à la reprise des relations intimes car ce sont surtout les changements de schéma corporel induits par le LVAD qui peuvent être bloquants au départ.